Vous êtes enseignant : le service des relations publiques vous accompagne sur le choix du spectacle, la préparation de votre classe et jusqu’à la venue dans nos salles.
Voici une proposition de sélection de spectacles de la saison. Nous restons donc à votre disposition afin de créer ensemble ces moments de partage et de découverte.
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Secouer le cocotier de nos conditionnements sociaux qui nous placent, de fait et malgré nous, dans l’inégalité au sein du couple « hétéronormé », telle est l’ambition de cette pièce hilarante, au point de vue féministe assumé, qui dépoussière la scène de ménage.
Nourrie de l’abondante matière laissée dans le sillage de Colette, Cléo Sénia fusionne ses multiples pratiques artistiques dans un music-hall kaléidoscopique qui rend un vibrant hommage à une immense artiste, femme libre et scandaleuse, à l’héritage passionnant.
Chorégraphie de corps en quête d’un langage commun, cette rencontre brute pourrait se dérouler dans une ville-monde où les ethnies s’apprivoisent avec plus ou moins de difficultés. Une déferlante d’énergie, au service de l’art et du dialogue.
Inspiré par son idole Robin Williams, et son ami de toujours devenu photographe, le comédien Valentin Clerc transcende la photographie, qui parle au-delà des mots, pour exprimer sur scène les coulisses de la vie d’acteur, ses hauts et ses bas, et l’amitié.
Faisant force de leur rencontre, deux danseurs pénètrent une forêt dévastée, en métamorphose, théâtre des luttes poétiques, écologiques et culturelles. Un opéra-jungle à l’état de nature, épatant, qui ré-ancre dans la terre.
Un vent de folie souffle sur la cuisine des précieuses où cinq femmes conversent en alexandrins, parfois interrompues par le cri d’un robot ménager. Une version moderne, pleine d’humour et particulièrement extravagante de l’immense satire de Molière.
Nicolas Petisoff et Denis Malard s’emparent de ce qui est censé détruire pour en faire une force. Bouleversants de sincérité, ils nous font découvrir trois témoignages, tant partagés et tant éprouvés, de comment vivre sa sexualité en tant que minorité LGBTQIA+.
Duo sur fond noir, émaillée d’archives photographiques et de chansons italiennes, La truelle est à la fois une passionnante enquête familiale et une réflexion sur notre société et le pouvoir, voire une conférence sur la mafia de 1860 à nos jours…
Fresque primitive à la force sauvage, cette poésie corporelle brute, taillée dans l’humour féroce, part à la rencontre du premier clown de l’humanité, et fait rejaillir de l’obscurité les étincelles des tous premiers éclats de rire.
Maître de l’humour absurde, des formes loufoques et des seuls-en-scène inclassables, Jérôme Rouger joue un homme remarquable mais un peu paumé, qui se demande si l’art ne contribue pas à laisser le monde tel qu’il est, plutôt qu’à le changer en mieux.
Cette version contemporaine d’une grande tragédie de Racine inspirée de la mythologie grecque, est une dentelle tissée de puissance cachée. Une parabole en forme de grand songe noir et aux pouvoirs quasi chamaniques, qui parle d’être femme au pays des hommes.
Percussif, rythmé, ce seule-en-scène met à l’honneur la jeunesse d’aujourd’hui, dans ce qu’elle a de fougue et de belle verve. Une performance de comédienne, au service d’une fable moderne quand Nadja, petit à petit, se fait la voix d’un féminisme 3.0.
Entre théâtre documentaire et oeuvre de fiction, Mort d’une montagne est un polar à suspense, rugueux comme une paroi des Alpes, qui parle d’une montagne de 500 millions d’années, et de ceux qui l’aiment, l’admirent, avec une vertigineuse hauteur de vue.